Petite vidéo faisant une analyse précise du Secret Dérobé, du Puzzle Reconstitué. du Trésor qui rend fou ( toujours en solde ) et du Gentleman Cambriolé.
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Vladimir Cauchemar - Aulos (Official Music Video)
Vladimir Cauchemar - Aulos - available here : http://smarturl.it/VCauchemar-Aulos Directed by Alice Kunisue Executive Production : Oualid Selami Post-product...
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Franck Daffos, le trésor qui rend fou. Etude critique - le blog satirique de pierre Lalande
Mon ami malade (il nous fait l'aveu de ses maux sur son blog) revient énervé comme jamais. Il recommence son bluffe habituel du JE SAIS TOUT MAIS JE DIRAIS RIEN ! Mais le plus beau est son début d'
Quelques montages de mon blog établissant les mensonges de notre ami !
Cette figure est reproductible sur n'importe quel support, essayez avec n'importe quoi vous verrez ! Pour cela trouvez trois points et ajouter le reste !
La façade d'un MacDo, un tablier Flanc-Maison, Sur les bergers de Poussin mais en prenant d'autres points, sur une carte du Razès, etc... Un Pur plaisir ! La vérité c'est que Feu De Thury c'était trompé depuis le début voilà tout.
Quel pied de pouvoir étaler au grand jour sa vraie nature.
En plus, avec un peu de recherche j'ai trouvé un article du vieux Vallet qui démontre bien que cette figure est une invention de l'autre Anglais de Rennes-les-Bains !
La Honte !
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Pour Daffos 1er, un Héricart sinon rien !
Dans sa dernière intervention sur FB, tranquillement planqué derrière son pseudo Léon Charel, Franck Daffos, tout en jetant des tomates sur Rudy Jacquier, croit faire son beau en rajoutant dans...
https://tresor-rennes-le-chateau.net/pour-daffos-1er-un-hericart-sinon-rien
Et lorsqu'il nous affirme aujourd'hui que la cache de Sougraigne est remplie de toutes les merveilles du monde alors qu'il prétend totalement le contraire dans la version revue et corrigée de son Puzzle reconstitué... Pfff
Autre Bluff habituel ! Lassant de médiocrité.
Le déni (de leurs défauts, de l’autre) leur permet de «s’aimer» (et de s’aimer toujours plus). Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.
• Serge Hefez •
Francky adore user et abuser de cette pseudo science qui ne mène absolument à rien.... en voici la preuve accablante.
Voyons les concordances avec le nombre 104 valeur gématrique de FRANCK DAFFOS. Je ne suis évidemment en rien en accord avec les résultats obtenus...
Comme quoi c'est du grand n'importe quoi, nous sommes bien d'accord !
Message pour tout les zozos qui n'ont toujours pas saisi qui était Francky... Je leur conseille la passionnante lecture de cet article.
Lorsque vous aurez totalement assimilé le contenu de ces quelques lignes d'une finesse toute particulière, vous comprendrez en même temps le caractère inoffensif de notre pote énervé !
Les pervers narcissiques n’éprouvent aucun respect pour les autres, qu’ils considèrent comme des objets utiles à leurs besoins de pouvoir, d’autorité, ou servant leurs intérêts. Il font des promesses qu’il ne tiendront pas, sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Pris en flagrant délit de mensonge, ils sont capables de nier avec un aplomb hors du commun...
Charité bien ordonnée commençant toujours par soi-même, ils savent parfaitement et farouchement défendre leurs intérêts dont ils ont toujours une vision très claire. Ils essaient de profiter à chaque instant de toutes les opportunités, de toutes les personnes rencontrées, et ces personnes sont systématiquement instrumentalisées pour en tirer, autant que possible, avantage pour eux. Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Ils n’admettent aucune remise en cause et aucun reproche.
Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune «humanité», aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et calculateurs, totalement indifférents à la souffrance d’autrui. Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront le fait d’être emplis, en apparence, de bons sentiments et d’une sincère empathie pour autrui.
Les déceptions entraînent chez eux de la colère ou du ressentiment avec un désir de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s’empare d’eux lors des séparations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d’obtenir une revanche. Ce n’est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c’est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces et ses capacités de raisonnement. Et alors, il n’aura de cesse d’assouvir son dessein de vengeance.
Les pervers narcissiques ont souvent besoin de haïr pour exister. La haine peut être chez eux un moteur très puissant.
Souvent, le pervers narcissique est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu dans sa personnalité propre, qui a été victime d’investissement narcissique important de la part de ses parents et qui a été obligé de se construire un jeu de personnalités (factices), pour se donner l’illusion d’exister.
Du fait d’une histoire personnelle, où il ont été, par exemple le bras armé d’un de leurs parents, les pervers n’ont pas pu se réaliser. Ils observent alors avec envie ce que d’autres qu’eux ont pour y parvenir.
Les pervers narcissiques ne sont jamais sincères, toujours menteurs. Ils peuvent aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb. Le plus souvent, ils effectuent de sensibles falsifications de la vérité, qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise —ce qui est, pour l’autre, très déstabilisant— fait partie de leur jeu.
Le déni (de leurs défauts, de l’autre) leur permet de «s’aimer» (et de s’aimer toujours plus). Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.
Il donne le plus souvent l’image d’une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.
Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité. Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique aime gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus retors, pour ne jamais perdre. Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin.
A la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l’amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.
«Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose !» (Beaumarchais).
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d’y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses. A la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.
Situations cliniques :
• Le déni : «La France n’a jamais commis de génocide», en France, on a rien fait, la collaboration n’a pas existé, donc nous n’avons pas besoin de repentance (et on tue en même temps le Père en détruisant le remarquable travail de mémoire accompli par son prédécesseur).
• La diffamation sans y toucher : «ON égorge des moutons dans les baignoires », le ON anonyme du mépris et du colonialisme.
• Frapper l’autre d’inexistence pour le mépriser et le déstabiliser : je ne regarde pas mon adversaire au cours d’un débat, je dis «elle» en regardant un témoin.
• La jouissance du sous-entendu : « Je dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas». Ce qu’on pense tout bas, ce n’est en général pas très beau, et justement, on ne le dit pas. Ou «en France, on ne peut pas dire les choses» : par exemple, les nègres nous emmerdent, foutons les dehors…
• Provoquer la sidération et l’adhésion de l’entourage en le confrontant à l’horreur absolue : par exemple parler longuement du calvaire de la mère de Sohane pour faire passer une loi sur la récidive.
• Etre mégalomane, ne pas supporter le moindre accro à sa propre image : faire virer un grand patron de presse pour avoir été montré sous les traits ridicules du cocu.
• Enfance : venger une mère abandonnée qu’on ne quitte qu’à l’âge de 28 ans.
• Amour de la traîtrise : prendre pour porte-parole celui qui a trahi et calomnié son propre camp…
Mais vous avez sûrement en tête d’autres situations…
Allez, bonne continuation.
• Serge Hefez •
Sans rancune mon Pote ! Le débunking c'est le pied, surtout lorsque c'est si simple.
Ton Pierrot qui t'aime
PS : Bientot je vous parlerais d'un éditeur qui m'a approché pour faire un livre...
On cherche un titre : L'affaire Franky, le débunking